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LA LETTRE D'INFORMATION DE L'IMCCE

N°79 : mai 2012
Éphémérides du mois
de mai 2012

(Repère géocentrique,
les quadratures
et les conjonctions
sont en ascension droite)

Les éphémérides
sont données
en temps légal français

1 mai
À 15h 32m 33s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre la Lune et Mars, différence de déclinaison : - 7°51', élongation solaire de Mars : 114°E.

4 mai
À 23h 43m 52s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre la Lune et Saturne, différence de déclinaison : - 6°26', élongation solaire de Saturne : 160°E.

6 mai
À 05h 33m 38s : la Lune au périgée (distance minimale à la Terre) d = 356955.062 km, diamètre apparent : 33.5567' longitude : 225.821605'.
À 05h 35m 04s : Pleine Lune.

12 mai
À 23h 46m 43s : Dernier Quartier.

13 mai
À 15h 22m 40s : Jupiter en conjonction, diamètre apparent : 32.8".

15 mai
À 19h 30m 42s : Vénus est stationnaire dans la constellation du Taureau, puis rétrograde.
À 22h 34m 37s : Jupiter à l'apogée (distance maximale à la Terre) d = 6.01015 ua, diamètre apparent : 32.8".

19 mai
À 18h 13m 29s : la Lune à l'apogée (distance maximale à la Terre) d = 406448.190 km, diamètre apparent : 29.4803' longitude : 44.658944'.

20 mai
À 07h 56m 55s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre la Lune et Mercure, différence de déclinaison : + 2° 4', élongation solaire de la Lune : 8°O.
À 15h 26m 57s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre la Lune et Jupiter, différence de déclinaison : + 1°45', élongation solaire de la Lune : 5°O.

21 mai
À 01h 47m 01s : Nouvelle Lune.

22 mai
À 09h 11m 53s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre Mercure et Jupiter, différence de déclinaison : + 0°24', élongation solaire de Mercure : 6°O.
À 22h 54m 02s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre la Lune et Vénus, différence de déclinaison : - 4°43', élongation solaire de la Lune : 21°E.

26 mai
À 19h 27m 16s : Mercure à l'apogée (distance maximale à la Terre) d = 1.32199 ua, diamètre apparent : 5.1".

27 mai
À 13h 19m 19s : Mercure en conjonction supérieure, diamètre apparent : 5.1", latitude = + 0° 30,6'.

28 mai
À 22h 16m 00s : Premier Quartier.

29 mai
À 13h 17m 46s : Conjonction géocentrique en ascension droite entre la Lune et Mars, différence de déclinaison : - 6°54', élongation solaire de Mars : 95°E.

Archives
Les archives

Contacts
Service de renseignements
sr@imcce.fr
Éphémérides en ligne
miriade@imcce.fr

Directeur de publication
Daniel Hestroffer

Chef de rédaction
Sylvie Lemaître

Rédacteurs
Jean-Eudes Arlot
Pascal Descamps
Patrick Rocher
William Thuillot

Conception et réalisation
Jérôme Berthier
Alrick Dias

IMCCE - Observatoire de Paris
77, avenue Denfert-Rochereau
F-75014 PARIS

LOGO IMCCE   LOGO OBSPM

Filet
Visibilité des planètes

(Planètes visibles entre les latitudes 60° Nord et 60° Sud et les constellations les plus voisines)



Mercure n'est pas visible tout le mois de mai.

Vénus est visible tout le mois le soir au crépuscule et en première partie de la nuit. Durant tout le mois, elle se couchera de plus en plus tôt, mais sera encore haute à l'instant du coucher du Soleil. Elle se trouve tout le mois dans la constellation du Taureau.

Mars est visible au crépuscule et une grande partie de la nuit. Au cours du mois, la planète se couchera de plus en plus tôt dans la seconde partie de la nuit. Elle restera tout le mois dans la constellation du Lion.

Jupiter n'est pas visible tout le mois de mai.

Saturne est visible tout le mois une grande partie de la nuit et à l'aube jusqu'au 19 mai, date de son coucher héliaque du matin à Paris. Après cette date le coucher de l'astre est visible le matin avant le lever du Soleil. Tout le mois, elle se trouve dans la constellation de la Vierge.

Aspect des planètes au 16 mai 2012
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Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus
 
Repere

 

Ciel du mois

Cartes du ciel pour une observation vers le nord et vers le sud
à Paris le 15 mai 2012 à 23 h temps légal



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Carte du ciel en direction du nord

Carte du ciel en direction du sud

Ces cartes du ciel montrent les étoiles brillantes et les planètes visibles dans le ciel de l'hémisphère nord, vers l'horizon sud et vers l'horizon nord, pour le 15 mai 2012 (23h). Le trait vertical correspond à la projection sur le ciel du méridien du lieu. L'arc de cercle rouge sur l'horizon sud représente l'écliptique (lieu de la trajectoire apparente du Soleil durant l'année). Les constellations visibles sur ces cartes sont, par ordre alphabétique des sigles :

l'Aigle (Aql), le Cocher (Aur), le Bouvier (Boo), Cassiopée (Cas), Céphée (Cep), le Cancer (Cnc), la Chevelure de Bérénice (Com), la Couronne Boréale (CrB), le Cratère (Crt), le Corbeau (Crv), les Chiens de Chasse (CVn), le Cygne (Cyg), le Dragon (Dra), les Gémeaux (Gem), Hercule (Her), l'Hydre femelle (Hya), le Lézard (Lac),le Lion (Leo), la Balance (Lib), le Petit Lion (LMi), le Lynx (Lyn), la Lyre (Lyr), le Serpentaire (Oph), Persée (Per), la Grande Ourse (UMa), la Petite Ourse (UMi), le Scorpion (Sco), le Serpent (Ser), le Sextant (Sex), la Flêche (Sge), la Vierge (Vir), le Petit Renard (Vul)

Le Soleil dans sa course apparente sur l'écliptique est accompagné de plusieurs planètes proches. Celles qui sont à l'est peuvent être observées au coucher du Soleil et au début de nuit selon leur élongation et leur magnitude, celles qui sont à l'ouest le seront en fin de nuit et au lever du Soleil sous les mêmes conditions. La figure suivante montre la configuration au 15 mai 2012.

Ecliptique mai 2012

Les cartes du ciel sont générées à l'aide du logiciel libre Stellarium.

Phénomènes astronomiques
Éclipse annulaire du 20-21 mai 2012

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Circonstances générales de l'éclipse du 20-21 mai 2012.

Cette éclipse est la neuvième éclipse annulaire du XXIe siècle. Elle sera visible, sous la forme d'une éclipse partielle sur l'Asie et sur presque la totalité du continent nord américain, elle passe sur le pôle Nord. Sa ligne de centralité débute au sud de la Chine, puis traverse l'océan Pacifique nord, en passant sur une partie du Japon, puis au sud des îles Aléoutiennes et elle prend fin sur l'est et le centre des État-Unis.

Attention, cette éclipse traverse la ligne de changement de date. En temps universel coordonné elle commence le 20 mai et se termine le 21 mai, par contre localement à l'ouest de la ligne de changement de date nous serons le 21 mai alors qu'à l'est de la ligne de changement de date nous serons le 20 mai. L'éclipse commence donc le 21 mai en Chine et se termine le 20 mai aux États-Unis !


Nouvelles astronomiques
Douze hommes en lumière (5/11)
Robert Grosseteste : L'optique est la première des sciences


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Portrait de Grosseteste datant du XIVe siècle (London, British Library, MS Royal 6.E.v, fol. 1ra)

Au début du XIIIe siècle la science européenne prend son envol. Les premières grandes institutions d'enseignement supérieur ont déjà vu le jour avec la fondation de l'université de Bologne (1088), de Paris (1150), d'Oxford (1167), de Salerne (1173), de Palencia en Castille (1178), de Reggio (1188), de Vicenza (1204), de Cambridge (1209), de Salamanque (1218) et de Padoue (1222). Dix autres suivront vers la fin du XIIIe siècle.

L'une des grandes figures de ce renouveau de la connaissance est Robert Grosseteste (1168-1253). Il étudia et enseigna à l'université d'Oxford qu'il quitta en 1235 quand il fut nommé évêque de Lincoln. Il fut le premier de l'ère médiévale à discuter de méthodologie. Il distinguait deux étapes en science : la première est une combinaison de déduction et d'induction. La seconde fut ce qu'il appela vérification et falsification. À cela il ajouta deux principes : celui d'uniformité de la nature : les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets ; et celui d'économie : la meilleure explication est toujours la plus simple, c'est-à-dire celle obtenue avec le moins d'hypothèses possible. Il avança également qu'il était impossible de comprendre le monde physique sans les mathématiques.

Il développa ses vues particulièrement en optique, affirmant qu'une complète explication des phénomènes optiques requiert non seulement la géométrie mais aussi une idée de la nature physique de la lumière, une « métaphysique de la lumière ». Il considérait que « la lumière est l'essence la plus digne, la plus noble et la plus excellente de tous les corps ». Son ouvrage majeur en optique est le De Luce (daté de 1225-1228 ou 1235, selon les spécialistes). Il y développe sa théorie de la « multiplication des espèces » : la lumière est à l'origine de la multiplication des espèces car, en se déployant dans tout l'espace uniformément, elle a engendré et étendu l'Univers et est responsable de son occupation matérielle ultérieure. C'est en pénétrant les corps que la lumière leur confère leur extension spatiale sans laquelle ils n'existeraient pas. Selon sa théorie optique, la lumière voyage en ligne droite par la propagation d'une série d'ondes ou de pulsations. Il développa une théorie de la réfraction, incorrecte cependant, alors qu'une simple expérience, conforme à sa méthode de falsification, aurait pu le lui démontrer. Il suggéra des applications de la réfraction (réalisées plus tard avec l'invention du télescope et du microscope). Il proposa une explication de l'arc-en-ciel qui était en rupture avec celle des aristotéliciens, à savoir qu'il était dû à la lumière réfractée et non réfléchie.

Avec Grosseteste va donc se développer un engouement incomparable pour l'optique qu'il considérait comme la « science […] vraiment plus belle que les autres, et plus utile » ainsi que les premières réflexions sur la méthodologie en science. Ces idées trouveront très rapidement un écho attentif et prolifique, notamment chez l'un de ses successeurs - et élève - directs, Roger Bacon.

Chronique d'une fin du monde annoncée (5/12)
Faut-il craindre une collision avec Vénus ?


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Jeu de quilles dans le système solaire ?

Faut-il craindre une collision avec une autre planète ? La question n'est pas ridicule, après tout Newton se la posait déjà il y a un peu moins de 350 ans. Les mathématiciens ont pris l'habitude de la reformuler différemment: le système solaire est-il stable ? Est-il par conséquent voué à rester à l'identique de ce qu'il est actuellement ?

Cette question souleva une grande inquiétude dans le public du XIXe siècle qui ne fut pleinement rassuré que lorsque François Arago (1786-1853), en 1842, rendant compte des travaux de Laplace (1749-1827) sur la stabilité du système solaire en 1793, affirma la toute-puissance du dogme déterministe laplacien : Si l'on connaissait l'ensemble des masses, positions et vitesses de tous les corps du système solaire à un instant donné, nous pourrions connaitre leur trajectoire pour une durée indéterminée dans le futur, et également dans le passé. Satisfaction.

L'apaisement sera de courte durée. Dès 1892, un autre mathématicien français, Henri Poincaré (1854-1912), démontre que les méthodes utilisées par les astronomes pour calculer les trajectoires des planètes du système solaire ne peuvent conduire à la prédiction de leur mouvement sur un temps infini. Par conséquent on ne peut rien conclure sur la stabilité du système solaire. Consternation.

...


En ligne avec la Méridienne de l'Observatoire de Paris

1712-2012, trois cent ans depuis que Jean-Dominique Cassini, considéré comme le premier directeur de l'Observatoire de Paris, s'est éteint. A cette occasion, l'Observatoire propose en son hommage une exposition exceptionnelle à partir du 9 mai 2012 jusqu'à la fin de l'année. Dans le cadre de cette commémoration, l'IMCCE ouvre un site entièrement et uniquement consacré à l'une des merveilles méconnues du patrimoine de l'Observatoire de Paris : la ligne méridienne en laiton de la grande salle Cassini du deuxième étage du bâtiment Perrault édifié entre 1667 et 1671.

Cette ligne, tracée dans le plan du méridien de Paris, fut construite entre 1729 et 1731 par Jacques Cassini II, fils de Jean-Dominique Cassini. Il s'inspira des grands principes canoniques de construction établis par son père en 1655, lorsqu'il bâtit la ligne méridienne de la basilique San Petronio à Bologne (Italie). Davantage qu'un cadran solaire, comme on a coutume de le croire, la ligne méridienne de l'Observatoire est un véritable instrument astronomique de haute précision que J.D. Cassini désignait d'ailleurs par l'appellation éloquente d'héliomètre. Elle demeure à ce jour la seule grande ligne méridienne existante – d'une longueur de près de 32 m et pourvue d'un gnomon situé à près de 10 m au-dessus du niveau de la salle- construite au sein d'un édifice non religieux.

À travers ce site, trilingue (français, anglais, italien), nous proposons tout à la fois un voyage historique en ce XVIIIe siècle bouillonnant, au cœur des lumières, et la découverte d'un instrument astronomique original et rare, monumental et discret, la ligne méridienne, dont la postérité scientifique retiendra surtout qu'il fut le premier par lequel la lente diminution de l'obliquité de l'écliptique – c'est-à-dire le léger redressement (temporaire toutefois car on sait maintenant que ce mouvement n'est qu'une lente oscillation à très longue période de 2,5° d'amplitude) dans l'espace de l'axe de rotation de la Terre – fut démontrée comme un fait d'observation indéniable.


Coucher du Soleil sous l'arche de l'Arc de Triomphe depuis les Champs Élysées

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Photo prise le 8 mai 2009, © Josselin Desmars

Depuis la construction de la Grande Arche à La Défense, l'horizon n'est plus dégagé lorsque l'on regarde dans l'axe de l'Arc de Triomphe depuis les Champs Élysées. Une barre horizontale correspondant au sommet de la Grande Arche est visible sous l'arche de l'Arc de Triomphe, cette barre horizontale masque également une partie du Soleil couchant. Plus on s'approche de l'Arc, plus sommet de la Grande Arche est bas sur l'horizon, mais plus le diamètre apparent de l'arche augmente alors que le diamètre apparent du Soleil reste constant.

Depuis la place de la Concorde

Depuis la place de la Concorde, le diamètre de l'arche est vu sous un angle apparent de 23,6', le diamètre solaire est donc toujours plus important que cette valeur ; le Soleil ne sera donc jamais en entier sous l'arche. Ces calculs sont des prévisions tenant compte de la réfraction atmosphérique et du dénivellement entre un observateur situé place de la Concorde (au pied de l'obélisque) dans l'axe d e l'Arc de Triomphe. Une variation même minime avec cet axe peut induire des différences notables dans l'azimut du Soleil (un mètre à droite ou à gauche change l'azimut d'environ 1,63') et des différences de temps de quelques dizaines de secondes sur les prévisions. Si vous vous déplacez vers la gauche de l'axe, le décalage de temps est négatif et si vous vous déplacez vers la droite de l'axe le décalage de temps se fait positivement.

Le tableau suivant donne les jours et les heures de visibilité du phénomène (en heure légale française)

 Jour  Instant du coucher
du centre du Soleil
 Période où le centre du Soleil
passe par l'axe de l'arche
 Variation de la hauteur du
centre du Soleil
durant cette période
  6 mai 2012  21h 07m 26s  21h 06m 38s à 21h 06m 58s  06' 07" à 03' 34"
  7 mai 2012  21h 08m 50s  21h 05m 40s à 21h 06m 00s  24' 19" à 21' 43"

 

Depuis le rondpoint Champs Élysées Clemenceau

Depuis le rondpoint Champs Élysée Clemenceau, le diamètre de l'arche est vu sous un angle apparent de 33,6', le diamètre solaire est donc quasi identique à cette valeur. C'est donc la position idéale pour photographier le Soleil sous l'arche.

Ces calculs sont des prévisions tenant compte de la réfraction atmosphérique et du dénivellement entre un observateur situé au rondpoint Champs Élysées Clemenceau (au centre de l'avenue) dans l'axe de l'Arc de Triomphe. Une variation même minime avec cet axe peut induire des différences notables dans l'azimut du Soleil (un mètre à droite ou à gauche change l'azimut d'environ 2,32') et des différences de temps de quelques dizaines de secondes sur les prévisions. De nouveau, si vous vous déplacez vers la gauche de l'axe, le décalage de temps est négatif et si vous vous déplacez vers la droite de l'axe le décalage de temps se fait positivement.

Le tableau suivant donne les jours et les heures de visibilité du phénomène (en heure légale française).

 Jour  Instant du coucher
du centre du Soleil
 Période où le centre du Soleil
passe par l'axe de l'arche
 Variation de la hauteur du
centre du Soleil
durant cette période
  7 mai 2012  21h 6m 52s  21h 05m 42s à 21h 06m 02s  09' 07" à 06' 31"
  8 mai 2012  21h 8m 15s  21h 04m 45s à 21h 05m 05s  27' 25" à 24' 46"
  9 mai 2012  21h 9m 38s  21h 03m 50s à 21h 04m 10s  45' 36" à 42' 55"

Attention : Si le Soleil à son coucher vous éblouit ne le regardez pas directement, c'est qu'il est encore trop haut sur l'horizon. Dans ce cas évitez de le photographier sans filtre, vous risquez d'endommager votre appareil photo et votre vue si vous utilisez un appareil à visée réflexe.
Au voisinage du 8 mai il y a généralement un grand drapeau tricolore sous l'arche pour la commémoration du 8 mai.


Séminaires
Temps & Espace

14 mai - 14h C. Bizouard (SYRTE)
'Les irrégularités d'origine géophysique dans la rotation de la Terre'
Lieu : Salle de l'Atelier, Observatoire de Paris, 77 av. Denfert Rochereau, 75014 Paris
21 mai - 14h M. Todd (Curtin University/ICRAR , Perth, Western Australia)
'Trojan asteroids in the inner Solar System / Asteroïdes troyens à l'interieur du Système Solaire'
Lieu : Salle Danjon, Observatoire de Paris, 77 av. Denfert Rochereau, 75014 Paris
Bureau des longitudes

2 mai - 14h30 E. Berthier (LEGOS)
'Les satellites au chevet des glaciers'
Lieu : Fondation Del Duca, 10 rue Alfred de Vigny, Paris 8e
Conférence

11 mai - 20h30 J.-E. Arlot (IMCCE)
'Les satellites naturels des planètes : 400 ans d'observations et d'études'
Lieu : Espace Mendes France, Poitiers
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